A la découverte du « street fast-food » parisien

Une nouvelle formule de la restauration rapide se propage maintenant dans toute la capitale. A l’occasion de l’ouverture du second Grilled Cheese Factory, nous avons rencontré Jérémy Fribran, son propriétaire, afin de comprendre ce qui fait le succès de ces fast-foods nouvelle génération.

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Flux 4 danse

C’est nouveau, c’est frais, c’est une première à Paris. Johan Amsalem, célèbre chorégraphe relève le défi de réunir 500 danseurs amateurs de tous les niveaux et de les accompagner dans la production d’une chorégraphie dans le cadre du projet FLUX 4 Danse.

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Polyglotte : votre sauveur lors de la période d’examens.

Aujourd’hui, réussir les examens afin d’entrer dans les universités prestigieuse devient de plus en plus difficile.  On parlera d’une étudiante russe qui à fondé l’école privée ayant pour but aider aux lycéennes d’obtenir les meilleurs résultats sur les examens.  

A l’âge de 19ans, une jeune étudiante habitante d’Irkoutsk (Russie), Irina a donné des cours privés  aux lycéens qui ont rencontré les difficultés avec la mathématique ou physique. C’est là où a commencé les début de sa propre école Polyglotte.

« Après quelques mois, j’ai eu beaucoup trop d’élèves que j’ai décidé de louer une salle pour les réunir et donner les cours ensemble. C’est en ce moment là que j’ai  décidé de recruter les jeunes professeurs, les étudiants comme moi, afin des proposer aux élèves plus de choix de cours qu’il peuvent suivre, » raconte Irina.

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Fondatrice de l’école Polyglotte, Irina Korneeva

Pour les postes des enseignants, elle a cherché des jeunes, qui soient rigoureux, responsables, motivés et en même temps soient capable d’expliquer  les règles même les plus difficiles de telle ou telle matières, d’une manière facile et compréhensive. Le but de l’ouverture de cette école est d’aider aux lycéennes de réussir leurs examens et de les faire comprendre, que la science puisse être expliquée facilement.

Dès que le recrutement des enseignants a été réalisé, Irina avec son amie ont ouvert officiellement l’école Polyglotte. Pour attirer plus des élèves, ils ont lancé une publicité, placé les affiches partout dans le ville, mais aussi ont créer leur site officiel,  ainsi que les pages officiels sur  different réseaux sociaux.

Le plus important, pour Irina, est la réussite en examens de ses élèves. Elle établie les meilleures conditions, pour que l’apprentissage  soit plus efficace. »Je me souviens, que c’est souvent difficile, d’étudier aux lycées puisque  nous somme nombreux dans la classe. Donc, la condition la plus importante est de former les groupes de 4 ou  de 5  personnes maximum. En suite, l’élément l’un dès plus important de notre école, tous les enseignants doivent être jeunes et créer une ambiance amical. On veut que les élèves se sentent à l’aise, mais aussi qu’ils aient envie d’étudier, et ça dépend de nos professeurs », dit Irina. 

La jeune entrepreneuse établie des bonnes conditions de travail aussi pour les enseignants. Avoir vécu sa propre expérience, elle comprend bien, que le travail serait mieux réalisé, si la personne est passionnée par son activité, ainsi bien payé. Chaque enseignant a une bonne salaire aussi que emploi de temps bien organisé.

Aujourd’hui Polyglotte se développe, ici on peut étudier ne pas que mathématique, littérature, physique et chimie, mais aussi apprendre des different langues : Anglais, Français, Japonais, Chinois et les autres. Très prochainement Irina, planifie d’ouvrir encore 2 filiales dans dans la ville, afin de faciliter l’accès à l’école. Pour rester socialement active, Irina est ouverte à touts les développements techniques, l’école est présente sur la majorité de réseaux sociaux telle que Instagram, VK.com (l’équivalent de Facebook, en Russie) et même possède leur chaine sur YOUTUBE.com.

« Je voulais toujours, créer quelques chose que pourra changer notre génération et pousser les élèves à se développer. Mon école, est un fruit de mes travaux, je suis très heureuse  de voir que mes élèves réussissent leurs examens et mes enseignants sont contents de venir au travail. J’ai eu de la chance de pouvoir créer une telle grande famille. »

Ikonnikova Alexandra

Instagram : http://instagram.com/polyglot38irk

Youtube : https://www.youtube.com/channel/UCHUE2Hov_nxOBvRPWZsZtlA

VK.com https://vk.com/polyglot38

crédit photo : https://vk.com/polyglot38

Mots 660

« Menu Next Door: Manger sain, équilibré et surtout fait maison »

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Après son succès fulgurant en Belgique, Menu Next Door est un nouveau concept culinaire et conquis les parisiens en bousculant les habitudes. Lancer essentiellement sur Facebook à Paris en Janvier 2016, la page compte plus de 44 000 membres, avec approximativement 150 cuisiniers actifs à ce jour.

Il est connu qu’aujourd’hui, manger sain dans les grandes villes avec un temps plutôt limité, devient conflictuel!

Fondateur de l’entreprise, Nicolas Van Rymenant a voulu changer les codes des grandes villes comme Bruxelles et Paris. Rassemblant un très grand nombre d’épicerie du monde, de saveurs, de goûts, de cultures et bien-entendu des amoureux de la cuisine. C’est à partir de là que celui-ci, a donc mis en oeuvre son but premier: de créer une communauté de Chefs.

Cuisinier confirmés ou du dimanche, ils préparent à manger en grande quantité pour leurs voisins. Des plats qu’il faut aller récupérer chez eux. Le concept fait beaucoup d’heureux depuis son lancement à Paris. C’est pourquoi, Menu Next Door a lancé le 17 mars dernier, son site officiel. Une façon bien plus simple afin de gérer l’afflux de commande et de toucher un plus grand nombre de gens.

Le but second de l’entreprise est de placer l’humain au centre du projet, en proposant une nouvelle expérience du « Take Away ». Cuisiner pour ses voisins est un acte de partage et de don de soi, car au bout du compte, les clients rentrent dans l’intimité du cuisinier: sa cuisine!

Les menus en image sont mises en ligne d’emblée une semaine à l’avance par chaque cuisinier. Le but étant d’attirer l’attention et susciter l’intérêt des clients pour qu’ils passent d’éventuelles commandes. Une vingtaine de menus sont mises à disposition virtuellement.

Et grâce au système de réservation en ligne sur le site officiel, les cuisiniers peuvent d’autant plus gérer la quantité de matière première, pour éviter le gaspillages et les pertes. Les prix des menus peuvent variés entre 6 et 14€ selon le cuisinier et le menu proposé.

Le site de Menu Next Door, a mis en place un système de parrainage qui permet aux parrains ainsi qu’au filleules de gagner 5€ sur leurs prochaine commande. Ce qui réduit en plus le coût pour les consommateurs. De fait, l’entreprise est très consciencieuse de la santé d’autrui, de l’hygiène, du gaspillage alimentaire, du prix, sans pour autant négliger la convivialité.

« C’est une nouvelle manière de consommer dans toutes les générations », cite Nicolas Van Rymenant dans un interview hier, le 30 avril sur LesEchos.fr.

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Miguel, 27 ans et habitant dans le 10e arrondissement de Paris, est responsable dans un restaurant sur le Quais de Jemmapes. Il se transforme en cuisinier pour ses voisins pendant ses jours de repos. Chef du lundi, il s’inspire beaucoup de ses origines antillaises et de la cuisine de sa mère. Exotique et au goût du jour, il prend son rôle de Chef à cœur.

Selon le jeune homme passionné de cuisine, Menu Next Door lui a permis de rencontrer des personnes très variées et qui ne viennent pas forcément de son quartier.

« Le terme « voisin », ne veut pas seulement dire, les gens qui habitent dans les parages, mais aussi les gens qui travaillent ou qui sont de passage dans le quartier. En addition, le fait d’être Chef pour Menu Next Door me permet d’arrondir mes fin de mois ».

Cuisinier une fois par semaine depuis le lancement de l’entreprise sur Facebook, il est vivement recommandé par plusieurs membres et commence déjà à avoir des clients habitués. Accueillant et conviviale, il n’hésite pas à mettre les gens à l’aise en leur offrant l’apéritif dès qu’ils arrivent.

Nicolas Van Rymenant pour sa part, soutient que la priorité de Menu Next Door pour le moment, est d’avoir des cuisiniers dans tous les arrondissements de Paris afin que tout le monde puisse en profiter. Intégrer la communauté de Chef est très simple. Il faut aimer faire la cuisine, et faire une demande sur le site. Aucun entretien n’est requis, car c’est un projet basé sur l’économie collaborative.

Une application fera peut-être son apparition d’ici la fin de l’année, une fois que la communauté sera plus grande. Et le fondateur parle même de s’exporter à Londres et pourquoi pas aussi en Province.

Sur ce, bon appétit!

Jason LUK-HANG

693 mots

Crédits photos: Moi et Miguel

Publication: « Le Bonbon », « Cuisine Actuelle »

La 23ème édition du Salon des Vins des Vignerons Indépendants

La 23ème édition du Salon des Vins des Vignerons Indépendants s’est tenu du 18 mars au 21 mars 2016. Cet événement était l’occasion pour les amateurs de bon vin de découvrir les vins et produits du terroir des producteurs indépendants issus de différentes régions. Ce salon s’est tenu durant quatre jours à l’Espace Champerret.

Le salon a accueilli près de 300 exposants venus de toute la France viticole et artisanale.  Par ailleurs, près de 30 000 visiteurs étaient présents et près d’une centaine de milliers de bouteilles ont été vendu. Toutes les générations étaient confondues lors de cet événement.

Quelle nouveauté cette année ?

Le Salon s’est tenu à la porte de Champerret contrairement aux fois précédentes où il se tenait à la Porte de Versailles. Les habitués remarquent également la présence de nouveaux stands présentant des produits du terroirs inédits. Cette année le Salon a fait appel à de nouveaux artisans. En effet, à l’approche de Pacques, le Salon a fait appel  un maître chocolatier qui nous a présenté et fait déguster ses délicieuses sucreries Il était d’ailleurs difficile de quitter le stand des chocolats dont l’exposant offrait une dégustation libre de ces différents chocolats. C’étaient également l’occasion pour les fins gourmets de déguster du foie gras de canard, des biscuits ou encore du chocolat issus d’une production artisanale. Par ailleurs, une des nouveauté de cette édition était que l’accès aux différents stands ne pouvait se faire sans l’outil indispensable : le verre de dégustation fournie à l’entrée en échange de l’invitation.

Un échange en toute simplicité

Le Salon des Vins des Vignerons Indépendant n’étant pas un salon comme les autres, on y croise uniquement des petits producteurs, souvent accompagnés d’un membre de leur famille. Ce producteur a élaboré lui-même son vin et le propose à la dégustation. Ainsi, on y rencontre le vigneron lui-même qui nous fait part de l’origine du vin, de son histoire… De ce fait cette dégustation, c’est l’opportunité de faire de belles rencontres. Ces échanges permettent aux visiteurs d’apprécier les différentes régions et la richesse des vins présentés.

Une disposition originale 

La disposition des stands aurait pu paraître à première vue désordonné mais ces emplacements étaient bien entendus volontaires. En effet, les stands n’étaient classés ni par régions, ni par types de vins mais étaient disposés de façon totalement aléatoire.  Cette disposition des stands avait pour objectif d’inciter à visiter les allées spontanément sans se diriger vers un stand en particulier. Ainsi, il était impossible de cibler un vin en particulier, il fallait se balader, regarder, échanger… Cela permet de se laisser aller, de découvrir des vins provenant de régions que l’on n’aurait pas testées ou plus simplement de goûter les différents vins : rosé, blanc, pétillant…

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Crédit : wikimédia

 

Michel, exposant et viticulteur en Aquitaine

Michel, exposant pour la troisième année consécutive :  » C’est ma troisième année au Salon des Vins des Vignerons Indépendants. Je parcours de nombreux salons durant l’année afin de faire découvrir mes différents crus et je dois admettre que celui-ci n’a pas d’égal. Les visiteurs viennent en famille, entre amis, en couple voire entre collègue durant leur pause déjeuner… Et ils se font découvrir à chacun les crus qu’ils préfèrent. Les amateurs conseillent les novices. Ce Salon incite à la convivialité et au partage. C’est toujours un plaisir pour moi de raconter l’histoire de nos vins, c’est une histoire de famille… Le vignoble appartenait à mon arrière-grand-père et a été repris par mon grand-père puis par mon père. Aujourd’hui c’est moi qui suis à la tête de notre vignoble et je compte bien faire vivre notre héritage encore longtemps. » Comme Michel, la plupart des exposants ont repris les vignobles qui appartenaient à leurs familles. Le vin représente ainsi pour eux un héritage familial précieux.

Un Salon prisé par les français

Ce Salon rencontre chaque année un franc succès. En effet le vin s’invite à table, lors des apéritifs ou lors des grandes occasions. Avec 60 bouteilles acheté chaque année par habitant, les français sont les plus grands consommateurs de vin au monde, de ce fait le Salon des Vins des Vignerons Indépendants a de beaux jours devant lui.

 

 

Fazna Abderemane

Listen ! De la musique mais pas que…

Le jeudi 17 mars dernier a eu lieu la soirée de lancement de la jeune start-up listen!
Après deux années de travail et de collaboration, l’équipe listen! a donné rendez-vous à près de 500 personnes à la Maison de l’architecture.

Le nouvel arrivant dans l’écosystème musico-digital

La volonté des deux fondateurs, Stella Rebouh, graphiste et Gontran Mabetomoka, professeur de mathématique, est clairement de révolutionner l’expérience musicale. « Cette Start-up est un long parcours à la recherche de nos convictions personnelles », nous rapporte Gontran. « Listen! est avant tout un projet qui est né à travers des rencontres et des échanges. Le cœur du projet et de la réflexion c’est la musique ».

Listen! a vu le jour dans le but de combler un manque dans l’univers musico-digital. En effet, les informations sont nombreuses mais peu sont distribuées de manière intelligente selon les deux jeunes entrepreneurs. Il y a un trop plein d’information, la culture du zapping est omniprésente. Aujourd’hui, le besoin de synthèse et la réduction du temps de recherche est importante pour eux. La volonté première de listen! est de placer l’utilisateur au centre de la démarche.

«  Le silence est aussi une partie intégrante de notre concept et notre projet », rajoute Stella. Il est possible de le remarquer en regardant le logo de la start-up qui est représenté pour un soupir en écriture musicale.

12472368_863178730476473_4911824447439103461_n T-shirt au logo listen! ©Victor Roblin

Autours de cette philosophie listen! toute une interrogation sur l’écosystème de la musique existe, et ce dans sa globalité. L’intérêt pour le grand public, les artistes, mais aussi les médias et les industries musicales est très fort. L’un des buts de listen! est de pouvoir faire le lien entre les quatre acteurs et contributeurs de la musique et ce qui l’entour.

La collaboration avec les médias et artistes indépendants est également très important pour la jeune start-up. Faire des découvertes multiples tout en gardant en vue le principe d’équité, voilà une autre chose pour lequel les fondateurs veulent se battre.

Pour résumer simplement, listen! est une bibliothèque de profils et de contenus musicaux. C’est une plateforme digitale permettant à ses utilisateurs de faire leur expérience de la musique de manière plus fluide, plus exhaustive et surtout plus intuitive. Cette nouvelle plateforme intelligente et ergonomique a pour idée de décloisonner les rapports entre le grand public et les professionnels de la musique.

Que ce soit vidéos, audios, articles, images, les contenus seront diverses et c’est cela la grande nouveauté. Le but de la plateforme listen! est de rassembler l’ensemble des contenus en fonction de l’utilisation que chacun veut en faire.

Tout comme I-Tunes, il sera possible de créer sa propre bibliothèque musicale, tout comme Spotify il sera possible d’écouter et de découvrir un large choix de musique qui nous correspond, tout comme Twitter ou Facebook il sera possible de suivre ses amis et autres personnes (artistes, médias, labels), tout comme Instagram il sera possible de découvrir des photos des artistes etc.

C’est en cela que listen! est une innovation dans le monde de l’écosystème musical. De nombreux contenus sur une même plateforme.

Une soirée bien remplie

Au cours de cette soirée de lancement tout était réuni pour passer un bon moment: des concerts, présentations, rencontres, discussions. Il a été possible de faire la découverte des représentants et de l’équipe listen!.

1917523_863178307143182_6699199434104145172_nL’équipe listen! ©Victor Roblin

Après un discours de bienvenue, une présentation de la soirée et de l’équipe, le premier groupe, Soldièse, a fait son entrée. Deux autres groupes ont suivi, Kutson puis Purple Iceberg. Chacun avec son style, son énergie mais toujours beaucoup de talent, à l’image de listen! nous a même avancé un des invités.

Entre chaque passage musical, du temps était réservé pour discuter et rencontrer les membres de l’équipe listen!.

Les groupes Purple Iceberg et Soldièse. ©Victor Roblin

Le rendez-vous est pris dans plusieurs semaines pour avoir accès à la version finale de la plateforme en ligne. Listen! ne s’arrête pas là, de nombreux événements ont lieu, et ce toujours en suivant les mêmes enjeux et valeurs. On retrouve les listen! & talk! qui sont des débats en petits comités autours de la musique et son écosystème chaque premier mercredi de chaque mois. Puis une série de concerts vont bientôt arriver, mais des précisions sont encore à venir de ce côté.

Histoire à suivre donc…

En attendant il est possible de retrouver listen! sur les réseaux sociaux.

Facebook: www.facebook.com/Listen

Twitter: twitter.com/ListenContact

Instagram: www.instagram.com/listenetwork/

Camille Cuvier

Nombre de mots: 676

Publication: A nous Paris, Les Echos Start, L’ADN, Influencia