The game of Go, a collision between history and modernity

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Ginza, one of most modern and animated districts in Japan. Go, one of the oldest games that require the highest level of calm and calculation. What would it feel like to play Go in front of a French window and watch the crowd runs in and out in all these luxury stores? 

It was not fiction, but a real tournament that was held in Ginza Internet Forum from Febrary the 24th to Febrary the 27th 2014. 16 young players from all over the world witnessed the perfect combination of modernity and history. When the champion, WANG Chen from China, raised the victory cup over his head, it seemed to be already an indispensable part of the background.

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The World Students Go Oza Championship is a tournament in which 16 students chosen from various countries around the world compete. It was founded in 2003 by several Japanese university students, and the 12th edition was held this year in Ginza, Japan. Not only the players, but also the organizers are all students: it’s an international championship run by students for students.

“I’m grateful for being able to participate in this tournament and to meet so many friends from all over the world”, said THIAGO SHINJI Shimada Ramos, a university student from Brazil who represents South America for the first time. “I started playing Go after watching Hikaru no Go[1] in high school”, he continued with his South American accent, “that’s why I’ve always wanted to come to Japan one day”. Ramos finished his tournament by one victory and three losses, but the result did not discourage him from taking pictures with everyone at the prize giving ceremony. “Of course I will come back again next year”, he answered without the least hesitation, “I will become stronger!”

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The newspaper Nikkei, who’s been sponsoring this tournament since its foundation, paid more attention to Japanese represents’ result. “Japan kept its upward tendency by occupying the second and the fourth place”, Nikkei reported in an article published in the newspaper on March the 1st. It was also the second time that the Japanese female representative, GO Risa, won the first female prize in the same tournament. The three European representatives were placed the 9th, 12th and the 13th in this year’s competition.

Go, invented by China 4000 years ago, is a strategy game widely spread in East Asia. It was brought to western countries by Japanese players in the 19th century and now has 32047 registered members in Europe[2]. Although there still exists a great gap between the top level in Europe and in Asia, the use of the Internet has contributed a lot in shortening this gap. A 17 year old Slovakian player, PAVOL Lisy, who learned and practiced this game completely on the Internet has already reached the 10th place in the European ranking system. He is thought to be the future star of Europe and plans to study Go in China after graduating from high school. While SHIKSHIN Ilya, a 21 year old Russian player who represents the highest level in Europe, has already beaten the number one of Taiwan in 2013’s World Mind Sports Game.

As mentioned by the vice president of Japanese student Go Association, Mr. NAKAZONO Kiyozo, the average level of World Student Oza Championship has been improving incredibly. Thanks to the rapid technological development, especially the invention of the Internet which allows people in different parts of the world to play together at any time, the day that a champion with blue eyes and blonde hairs may not be too far. Will the modernity prevail over the history or will the history continue to show its power in front of the modernity? Only time will tell.

By ZHANG Yanqi, for Sports Illustrated

Personal photos


[1] Japanese Comic

[2] Data EGD

La Coupe du monde 2014 : L’événement sportif le plus attendu de l’année sera t-il au rendez vous ?

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Après des Jeux Olympiques d’hiver de toute beauté, les fans de spectacle et plus particulièrement de sport attendent avec impatience que la coupe du monde 2014 du sport le plus populaire ouvre enfin ses portes . A bientôt 100 jours de la cérémonie d’ouverture qui promet d’être fantastique, faisons un point sur la préparation de l’événement sportif  que le monde entier attend depuis des années.

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Cette compétition est incontestablement l’événement sportif le plus regardé au monde. D’autant plus, qu’elle se réalise cette année sur les terres d ‘un pays où ce sport en est plus qu’un. En effet, pour une grande partie des Brésiliens, le football est le meilleur moyen de sortir de la misère et des dangereuses favelas . Là où le football est considéré comme une fête,  et qui est le berceau de joueurs de légende comme Pelé, Ronaldo ou Rivaldo pour ne citer qu’eux, cette Coupe du Monde semble disposer des ingrédients pour marquer l’histoire.

 

Pourtant la situation actuelle au sujet de cet événement sportif semble très préoccupante car de nombreux  problèmes perturbent les préparations . Pour commencer,  de nombreuses Brésiliens ont recours à des manifestations violentes afin de montrer leur mécontentement devant les coûts énormes  mis pour cet événement alors que le pays est dans une situation économique critique. De plus, la qualité et la quantité des infrastructures brésiliennes (aéroports, hôtels,routes ) ne sont pas disposer à accueillir un si grand nombre de touristes et sont précaires  . Elle rencontre également des retards sur la constructions des stades et d’environnements pour accueillir les touristes étrangers . Un sociologue de sport de renom national nommé Mauricio Murad se montre très pessimiste et dénonce le problème d’insécurité que connaît le pays « Le Brésil se voile la face. Le discours officiel dit que tout va bien , mais la réalité est toute autre. Actuellement, le Brésil est le pays qui a le plus grand nombre de morts provoqués entre des groupes de supporters. Le problème avec les policiers qui seront dans la rue pendant la Coupe du Monde c’est qu’ils ne sont pas été entraînés à gérer la foule »

On a eu pourtant sept ans, depuis 2007, pour faire un plan de sécurité publique, pour former les policiers, les équiper .Cela n’a pas été fait . Aujourd’hui, à trois mois de la Coupe Du Monde, nous n’y arriverons pas . »

 

Malgré ces problèmes de grande importance, son grand retard et cette vision pessimiste de ce sociologue, la majorité des hommes  reste convaincue que le pays hôte sera prêt le 12 juin et que la Seleção défendra bien ses couleurs contre la Croatie dans le stade flambant neuf de l’Arena Corinnthians à Sao Paulo. Le secrétaire de la Fédération Internationale de Football Association  Jérome Valcke en est également convaincu et affirme qu’« il est vrai que tout aura un air de travail de dernière minute, mais oui ce sera parfait. Les stades seront magnifiques et les équipes accueillies dans la meilleure des manières »  L’engouement et l’attente du monde entier sont tellement immenses que la Coupe du Monde est obligé d’être magnifique . On estime à plus de 600 000 le nombre de touristes étrangers venat pour cet événement. La vente de billets en ligne a déjà battu tous les records. Plus de 3 millons de Brésiliens défileront dans les rues pour l’occasion . Des vacances scolaires sont prévus pendant la durée de la Coupe du Monde et les jours seront fériés pour les habitants de la ville hôte où se dérouleront les matchs . Les attentes sont donc énormes et encourageantes . Serr Blatter président de la Fifa voit en cette coupe du monde un moment unique de partage du foot ball « Vivez ce grand événement de football, car si on dit que le football a été organisé par des Anglais , ceux qui ont inventé le football ; ce sont les Brésilents nés avec le ballon » .

 

Nous n’avons plus qu’à nous armer de patience jusqu’au 12 juin 2014 en espérant une 20 ème Coupe du Monde extraordinaire et inoubliable avec des spectacles de grande qualité .

 

Brice COLLIDOR                                                                                                   Fait le 28/02/2014

 

The Pineapple Twins en concert : les débuts d’un groupe prometteur.

 

 Vendredi 21 Février un mois après la sortie de leur premier album Duality, The Pineapple Twins performaient pour la toute première fois sur la scène de l’ OPA Bastille pour un concert tout en intimité. Retour sur leur première scène ainsi que sur leur aventure.

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 Apres 9mois de réalisation studio, le premier album de The Pineapple Twins sort officiellement en France le 20 Janvier dernier sur toutes les plateformes d’écoute et de téléchargement du web. Bercés depuis tout petits par la musique aussi bien électronique (Justice, Boys Noize, I AM UN CHIEN!!) que Rock (The Doors, Metallica, Rage Against The Machine), Sthylo et Wooax, deux DJS parisiens se lancent dans ce projet un peu fou : « Au début nous étions vraiment dans une recherche de style musical et d’instruments afin de faire un genre de musique qui nous plaise » c’est un ainsi qu’ils sont tombés amoureux du « Rock Electronique »

Selon Sthylo les maitres mots pour cet album ont été de faire ce qui leur plaisait tout en s’amusant et en continuant d’apprendre, ce qui est une bonne mécanique pour avancer dans le monde impitoyable de la musique, mais la motivation a toujours été là, « en constante évolution ». LET’S ROCK en est la preuve « à la base, elle n’était pas prévue dans l’album, elle s’est faite en une nuit ».Présentée comme la création la plus électronique, elle est aussi le premier opus choisi par TPT pour être publiée sur les plateformes musicales.

Et de l’electro-rock il y en a : Sthylo maitrise le clavier pour tous les instruments utilisés dans l’album et a une formation dans la production musicale, Wooax, autodidacte et ancien chanteur dans un groupe de rock mixe sur l’ordinateur et la MPC (Musique Production Center), ce qui leur a permit de mener à bien ce projet – « Depuis tout petit nous avons été bercés par la musique et l’envie de faire la notre a grandi en même temps que nous » – chose faite puisqu’ils ont fait leur premier concert le 21 Février dernier.

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Après six mois d’intense préparation, The Pineapple Twins est invité par le groupe Backbones, rencontrés lors d’une précédente date, à jouer sur la petite scène de 9m2 de l’OPA Bastille dans le 12 eme arrondissement à Paris. Ambiance feutrée, jeux de lumière pour accompagner la représentation grâce à leur ami « Klex », 22h30 le concert commence.

Malgré leur nervosité apparente avant de monter sur scène, on voit qu’une fois dans leur élément Sthylo et Wooax mènent la danse du début à la fin et ce n’est pas peu dire, leur titre YOU’RE ALL GONNA DANCE a su mettre tout le monde d’accord. On commence avec un simple beat pour être transporter peu à peu dans un autre univers, celui des Pineapple Twins, une base électronique surmontée de Rock piquant ; ensuite arrive LET’S ROCK beaucoup plus énergique. Le public, en majeur partie des invités du groupe, a su s’abandonner à cette nouvelle écoute de l’électro-Rock. La préparation ainsi que la concentration assidue des deux DJ ont porté leur fruit puisque Sthylo assure être prêt et pressé de remonter sur scène !

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« Cette soirée était génial ! » mais le meilleur reste à venir «Oui un deuxième album est prévu, avec plein de nouvelles idées, mais pour le moment nous nous concentrons sur les représentations (…)  Nos projets sont de mettre en place un show visuel pour accompagner nos représentations, ce que l’artiste lumière « Klex » nous aide à faire. Nous souhaitons aussi faire une tournée ».Esperons que cet élan ne sera pas perdu en cours de route et que ces deux DJ nous offrirons bien plus par la suite car The Pineapple Twins semble bien parti pour marquer les mémoires.

Alison A.
# étudiant 21000694

Crédits images : 

Bannière et loge The pineapple Twins (c)
Photo du concert à l’OPA Bastille, Alison ALEXANDRE


Informations supplémentaires :

Pour suivre TPT https://www.facebook.com/pineappletwins

Pour écouter Duality des Pineapple Twins https://soundcloud.com/pineappletwins

OPA BASTILLE  http://www.opa-paris.com/

9 Rue Biscornet, 75012 PARIS

Metro Bastille

Un week end haut en couleurs pour les monde du tatouage.

Ces derniers mois, la vie du tatouage français n’a pas été de tout repos, c’est le cas de le dire. Après avoir été examiné à la loupe par l’Assemblée Nationale pour s’assurer qu’il n’était pas dangereux, il peut enfin se reposer. Enfin…C’était sans compter sur Tin-Tin, célèbre artiste tatoueur, et ses acolytes, qui ont décidé de faire revivre pour une quatrième fois le Mondial du Tatouage.

 

Affiche de l'édition 2014 du Mondial du tatouage.

Affiche de l’édition 2014 du Mondial du tatouage.

Le Mondial a ouvert ses portes pour la première fois en 1999, pour la seconde en 2000, pour ne réapparaître qu’en 2013, où l’annonce d’une troisième édition fait l’effet d’une bombe. Cela signifiait la fin de la convention de Paris, événement déjà important qui avait lieu chaque année et qui réunissait de nombreux tatoueurs, et qui a donc disparu pour laisser place au Mondial. Mais ça voulait surtout dire, encore plus de visibilités, car un salon au niveau mondial, c’est bien pour la France, mais c’est encore mieux pour les 312 artistes qui viennent des quatre coins du monde, et c’est un rêve qui devient réalité pour les visiteurs qui auront la chance de se faire tatouer par un de ces artistes au cours de l’édition 2014. Parmi ces artistes tant attendus, nous retrouvons Dimitri HK, Easy Sacha, Fabrice Cokney, Filip Leu, Laura Satana, Léa Nahon, et beaucoup d’autres tout aussi talentueux. Selon Piero lors de la conférence de presse du Mondial 2014, l’intérêt est aussi de relier les artistes entre eux.

L’édition 2013 avait lieu au Centquatre et avait accueilli environ 15 000 visiteurs. L’édition 2014 se déroulera à la Grande Halle de la Villette, endroit plus grand, pour accueillir plus de monde, car selon Piero, les conventions de tatouage ont plus de visiteurs d’une année sur l’autre, le tatouage étant de plus en plus populaires. Tin-Tin explique ensuite que les tatoueurs présent l’an dernier étaient très heureux de leur participation, et que le Mondial a pu reprendre la place de leader qu’il avait lors de ses deux premières éditions. « C’était resté comme un des meilleurs événements du monde, si c’est pas le meilleur événement du monde.». La différence avec les conventions américaines est que dans ces dernières, il y a peu d’invités européens, alors qu’au Mondial, il y a de nombreux invités venant de presque tous les pays. Le but des organisateurs était de faire « quelque chose de pointu, d’élitiste et de populaire à la fois ».

Il y aura du tatouage, certes, mais pas que. Le Mondial, c’est convivial. Et pour attirer encore plus de monde, Tin-Tin et ses collègues ont mis les petits plats dans les grands : concours pour élire les meilleurs tatouages, avec un jury présidé par le chanteur Tété, qui anime également une petite émission sur les tatouages sur Youtube (Tattoo by Tété, retrouvez son émission ici  !), mais aussi des concerts (Skip The Use, Da Silva…), un séminaire pour les professionnels, une exposition du photographe Julien Lachaussée (vous pouvez retrouver son projet Tattoo Artist sur son site) , et plein d’autres surprises !

Pour avoir un petit aperçu de ce que vous réserve ce Mondial haut en couleurs, c’est ici.

 

Lauren Coulombel.

Publication : Tatouage Magazine, ou autre magazines spécialisés dans le tatouage.

Photo de l’affiche : © Peinture par Jean Labourdette aka TURF ONE  prise sur le site du Mondial.

Photo de la Villette prise sur le site de Mondial.

La Color Run arrive en France pour la première fois !

Le Dimanche 13 avril 2014, la course Color Run, déjà célèbre dans de nombreux pays, donnera son top départ à Paris. A vos baskets pour cet événement sportif et festif !

Le départ de The Color Run aussi connu comme « les 5 kilomètres les plus joyeux de la planète » (The Happiest 5k on the Planet) sera lancé le dimanche 13 avril à 9h30 à Hôtel de ville, sur le parvis de la Mairie de Paris. Une course pendant laquelle des membres de l’organisation lanceront de la poudre de couleur à chacun des 5 kilomètres, pour qu’à l’arrivée au Trocadéro les coureurs soient hauts en couleurs. Une fois la course finie, les « color runners » pourront reprendre des forces avec un sandwich qui leur sera offert. Un festival de musique jusqu’à 15h clôturera cette journée événement.Color Run parcours

 Une course pour tous.

Le parcours de 5 kilomètres dans les rues de Paris, est adapté aux passionné(e)s de course (certain(e)s auront peut-être couru le marathon de Paris le weekend d’avant) comme Malik.D, futur « color runner » qui nous explique « Je fais habituellement des footings de 10km, je fais la Color Run pour le côté sportif, mais pas pour l’exploit ! Et aussi parce que je trouve que courir sur les quais de Paris est une très chouette idée, ça ne se présente pas tous les jours !  »

Mais la course se destine aussi aux amateurs et débutants, Anne.K ne court jamais mais elle confie s’être inscrite pour « Le concept, l’idée, et le côté convivial de cette course. Ça donne envie de se mettre au sport en fait. » En effet, le but n’est pas d’arriver premier, ni de battre des records, mais de s’amuser et de profiter des 5km. Clara.B ajoute « On s’est inscrit avec des amis pour rigoler, parce qu’on a vu des vidéos et des photos des Color Run du monde entier, ça nous tout de suite a donné envie ! »

 Un engouement vitesse grand V.

Les inscriptions se sont ouvertes le 14 février, mais en moins d’une semaine toutes les places ont été vendues! C’est déjà un succès. On peut cependant se mettre sur une liste « VIP » par ici : thecolorrun.fr.  afin d’être informé si de nouvelles places sont ouvertes. Les inscriptions se font en solo pour 35 euros ou en équipe (de 4 personnes minimum, pas de maximum) pour 30 euros par personne, et 25 euros pour les moins de 15 ans.

Portrait 4

Un événement sportif, festif et caritatif.

Créée en Janvier 2012 à Phoenix aux Etats-Unis cette course à donné lieu à 100 événements rassemblant près d’1 million de personnes en 2013. L’argent rapporté par la course sera en partie reversé à l’association Les Chevaliers du Ciel parainnée par l’acteur José Garcia qui offre la possibilité à des enfants malades, handicapés, ou défavorisés de réaliser un baptême de l’air. L’association organise aussi beaucoup d’événements pour ces enfants et pour des enfants qui n’ont aucun de ces problèmes là afin que leur différence ne soit plus un obstacle.  La future « color runneuse » Gabrielle.P déclare « Je cours de temps en temps pour le plaisir, je ne suis pas marathonienne, mais cette course à l’air très drôle et très belle. C’est l’occasion de voir la ville d’une manière différente, d’en prendre plein les yeux. Et en plus, c’est pour la bonne cause !» Voilà qui est bien résumé.

En 2014, The Color Run s’exporte dans plusieurs pays du monde comme Italie, Allemagne, Pays-Bas, Royaume-Uni et aussi pour la première fois en France. En avril ce sera a Paris mais si c’est un véritable succès d’autres pourraient voir le jour dans d’autres villes françaises. Ça promet d’être fun comme l’annonce le slogan de la course « Be healthy, Be happy, be you, be a Color Runner ! »*

*Sois en bonne santé, sois heureux, sois toi-même, deviens un Color Runner

Regardez de plus près :

Alors? Ça donne envie, non?

Sarah Lazes

Crédits photos : Blanc Foncé

Publication visée: site internet d’informations pour les parisiens comme Sortir à Paris, My Little Paris… et les sites de sports comme Run actu.

Carton plein pour La Belle & La Bête à Mogador

La Belle & La Bête, musical installé à Paris depuis le 24 octobre dernier a fêté sa centième représentation. Ce spectacle, qui se joue aujourd’hui à guichets fermés a connu un parcours semé d’embûches. Retour sur un succès inattendu…

La 100ème, un cap symbolique

La troupe montait en effet pour la centième fois le 1er février dernier sur la scène de Mogador (IXème arrondissement) pour interpréter les personnages du film d’animation Disney sorti en 1991. Le théâtre vit désormais au rythme des partitions d’Alan Menken, auteur des chansons originales. Démarche encore rare à Paris, la musique est joué en direct, par 7 musiciens. Entre deux envolées vocales et un changement de décor,  l’humour, relevé par de nombreux observateurs comme étant un des points forts prend la relève. Timon Timauvais, rédacteur en chef de ChroniqueDisney.fr le confirme :

« Le spectacle plait car il possède un double niveau de lecture, un pour les enfants, un autre pour les adultes. L’humour justement, très parisien pour l’adaptation française s’oriente souvent vers des blagues pour adultes, mais qui ne viennent pas gêner les plus jeunes ».

Aujourd’hui encore, le spectacle fait toujours parti des meilleures ventes, et a franchi depuis peu les 200 000 billets vendus. Il aura fallu une dizaine d’adaptations partout dans le monde et un compteur à plus de 35 millions de spectateurs pour voir les personnages de Lumière, Mrs Samovar ou Gaston  prendre vie sur les planches de l’Hexagone.

Dans cette effervescence,  on oublierait presque qu’il y a quelques mois, le projet peinait à démarrer, tant il a eu du mal à s’imposer.

Le duo principal, joué par Marion Taris et Yoni Amar

Le duo principal, joué par Marion Taris et Yoni Amar

Une genèse difficile


En effet, même si La Belle & La Bête est une valeur sûre du musical « made in Broadway », l’histoire de la rencontre entre Belle, une jeune femme prisonnière d’un château où les objets sont vivants et La Bête, le maître des lieux, n’était pas censée être jouée chez nous. On ne doit son arrivée impromptue qu’à l’annulation, à l’été 2013 et  en dernière minute, de « Mary Poppins ». Véritable coup de théâtre, cette annonce sonne surtout comme un plan B, déployé en urgence à seulement quelques mois de la première. Il faut alors tout reprendre à zéro pour les équipes : auditions, adaptation, répétitions, mais aussi campagne de communication, et cela peut prendre du temps.

«Comme les metteurs en scène s’adaptent en fonction de la culture d’un pays, on s’adapte en fonction de l’évolution des gens. Ce qui fonctionne bien à une époque ne fonctionne peut-être plus aujourd’hui. »
Glen Casale, Metteur en scène

Des difficultés de visibilité

Et justement, le challenge de réunir à la fois les familles, les nostalgiques de Cocteau et les jeunes adultes 6 soirs par semaine dans ce théâtre de 1600 places était loin d’être gagné. A la rentrée de septembre 2013, alors que la machine médiatique se remet en marche, pas une trace du spectacle dans le paysage audiovisuel. Seules quelques affiches sont visibles à Paris. La raison ? il faut la chercher du côté de la concurrence. Au même moment, Robin des bois, spectacle français, qui se joue à quelques kilomètres, poursuit son marathon promotion et monopolise les plateaux de télévision, avec sa tête d’affiche M Pokora. Impossible, donc, pour le spectacle Disney encore inconnu de s’imposer. Pire, Stage Entertainment, qui désespère de voir son musical attirer les projecteurs (et les spectateurs) parasite son propre projet en annonçant sur les canaux de communication nationaux la création du Bal des Vampires, à l’automne 2014.

La  donne change enfin, quand, le 24 octobre 2013, l’équipe vit la fameuse première de gala où se mêleront célébrités, mais surtout journalistes. Le lendemain, la presse est emballée. Le spectacle, re-dynamisé par une couverture médiatique attendue depuis plusieurs mois entame alors enfin sa tournée promo, avec en point d’orgue, un tableau de plus de 5mn dans l’émission Miss France sur TF1, regardée par plus de 8,2 millions de téléspectateurs.  A Noël, tandis que la communication s’intensifie, le spectacle fait toujours salle comble et annonce 100 000 billets vendus.  Une belle réussite pour un projet qui ne devait pas voir le jour.

"C'est la fête" photo Brinkhoff&Mogenburg ©Disney

« C’est la fête »
photo Brinkhoff&Mogenburg
©Disney

Le rideau tombera définitivement sur La Belle & La Bête le 27 juillet prochain. Il reste donc quelques mois pour venir revivre sur scène, à Paris, au théâtre Mogador, l’ambiance et les chansons cultes du dessin animé comme « C’est la fête » ou « Histoire Éternelle ».

Alexis Elbaz ID n’21001945

Informations pratiques :

Jusqu’au 27 juillet

Théatre Mogador, 25 rue de Mogador, 75009

De 25€ à 99€

Site officiel

Publication visée : sites web spécialisés comme http://www.regardencoulisses.com  ou suppléments comme « Le Parisien Magazine »

«  Black Spoon » le resto qui roule !

Le restaurant Black Spoon à ouvert le 6 décembre dernier, en région parisienne. Ce restaurant est un camion ambulant qui circulent dans Paris et sa proche banlieue. Il propose des plats typiques africain. Il s’agit du premier restaurant gastronomique aux spécialités africaines en France.

yassaOK

Une idée de Génie !

Ce concept novateur a été lancé par la charmante Faty Diang dont le projet était de proposer de la cuisine africaine avec un système de traiteur.

De plus, la jeune Femme a  le désir de véhiculer à travers sa cuisine des valeurs comme l’ouverture et  l’échange : « par la découverte de plat traditionnel africain je souhait mettre en avant mes influences d »Europe mais aussi  d’afrique ». La jeune entrepreneuse est d’origine sénégalaise et cuisine depuis son plus jeune âge.

Elle raconte que son idée lui vient du célèbre Food struk parisien qu’elle a décidé de convertir à la gastronomie africaine.

Un véritable saut dans le vide pour cette mère de 34 ans ex-chargée d’affaires grands comptes pour un cabinet de conseil, qui était désireuse d’allier sa carrière professionnelle à son rôle de mère.

Un menu varié et de qualité !

Le restaurant ambulant propose des spécialités africaines cuisiné par Faty elle-même, tel que du poulet Yassa  une spécialité sénégalaise «  il s’agit d’une sauce à base d’oignon accompagné de poulet et de riz blanc » ou encore de Mafé, «  le Mafé est une spécialité malienne faite d’une sauce à base d’arachide accompagné de bœuf et de riz ». Il y a aussi un large choix en boisson, loin des propositions habituelles Black Spoon propose des jus de papaye, de mangue ou encore de gingembre, mais aussi des tisanes traditionnelles.

Faty explique que les produits sont de hautes qualités et principalement issues de l’agriculture biologique et aussi que la viande est halal. Le restaurant met l’accent sur le raffinement en sélectionnant des produits de haute qualité tel que la marque de Moriba ( marque spécialiste dans les produits africains et bio) pour le café, mais aussi les confitures et les épices.

Un succès, des tas de projets !

Depuis son ouverture la petite entreprise dispose de 4 emplacements différents ; Coubevoie, Saint-Cloud, Gennevilliers et la Défense. Elle sert environ 50 plats par jours et grâce à la médiatisation de  l’ouverture elle a de nombreuse demande de privatisation, dont une au mois d’avril à Science-Po.

Faty Diang espère que ce n’est que le début et qu’elle pourra bientôt mettre en place d’autres camions et le rêve ultime : avoir son restaurant.

À tout les adeptes de plat africain ou encore aux curieux des saveurs de monde Black Spoon est fait pour vous !

Aïssatou Baldé

publication: Amina magazine

photo:site officiel de Black Spoon

Rencontre ethnique au cœur de Paris

« NATURAL AND HAPPY ! » . Telle est la nouvelle devise adoptée par de plus en plus de femmes noires qui n’hésitent plus à arborer au quotidien leurs cheveux naturels crépus ou frisés, délaissant ainsi défrisants, assouplissants et autres produits destinés à dénaturer le cheveu afro.
Samedi 15 mars les icônes de ce phénomène dévoileront au naturalistas parisiennes tout ce qu’il faut savoir sur l’entretien du cheveu crépu.

D’origine anglosaxone, le mouvement nappy qui incite les femmes noires à accepter et aimer la nature de leurs cheveux s’est développé aussi bien aux USA et en Europe qu’en Afrique où paradoxalement la majorité des femmes ont pour habitude de se défriser les cheveux ou de poser des extensions capillaires ou tissages de texture lisse.

Prise de conscience identitaire ou tendance du moment, ce phénomène a suscité beaucoup d’engouement auprès de la communauté afro ces 10 dernières années.

Solange Knowles, Janelle Monae ou encore Lupita Nyongo, les célébrités donnent l’exemple en arborant leurs cheveux naturels sur les tapis rouges.

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Désormais, les femmes noires n’hésitent plus à sauter le pas du « big chop » (tout couper pour tout recommencer) et repartent à zéro laissant le naturel venir au galop et les afro fleurir au dessus des têtes.

« Shrinkage » , « Bantu knot« ,  « Twist out« , « Wash N go » , les nappy ont développé un véritable langage pour définir les techniques d’entretien spécifiques au cheveu afro. Néanmoins, se lancer dans l’aventure peut parfois s’avérer compliqué pour les apprentis naturalistas.

Quoi de mieux qu’une immersion académique par des experts en la matière pour éclairer ces femmes en quête de savoir capillaire ?

Organisée par l’agence AK-A (spécialisée en communication et marketing auprès des populations afro caraïbeenne), la Natural Hair Academy se tiendra le samedi 15 mars 2014 à l’espace Tapis Rouge au cœur de Paris. L’événement réunira des spécialistes qui enseigneront leur savoir sur le cheveu frisé aux adeptes du concept nappy.

Suite au succès indéniable des Natural Hair Academy 2012 et 2013, c’est avec impatience que cette 3ème édition est attendu par 1000 participants.

« Pour moi ça sera vraiment l’occasion d’avoir des conseils d’expert, de poser les questions aux bonnes personnes pour améliorer ma routine capillaire. Je croiserais sûrement mes bloggueuses favorites par la même occasion donc c’est vraiment un événement à ne pas manquer » témoigne Lelya, étudiante de 23 ans.

10h non stop de conseils capillaires et d’échanges dans un lieu prestigieux en plein cœur de la capitales avec pour maîtresse de cérémonie la célèbre Felicia Leatherwood, célèbre hairstylist américaine venue des USA spécialement pour l’occasion, qui est notamment la coiffeuse attitrée de nombreuses célébrités comme Jill Scott .

Au programme de la journée :

–    3 workshops

–    1 make up bar animé par la marque de cosmétiques IMAN

–    1 salle de diagnostic capillaire par les laboratoires Phytospecific

–    1 espace conseil

–    1 pop up store où des nombreuses marques viendront proposées leur gamme.

Ce rendez vous incontournable pour les amoureux du cheveu afro réunira le temps d’une journée des intervenants de renommée pour animer les différents ateliers capillaires : Les sœurs Monroe et Tanren Guy reconnues comme vloggueuses pionnières du mouvement Nappy ou encore Clarisse Libene fondatrice du blog/boutique en ligne « Belle Ébène ».. Ces ambassadrices de la beauté afro répondront à toutes les questions autour du cheveu crépu.

Les naturalistas seront donc à l’honneur lors de cet événement qui demeure bien entendu ouvert à tous les curieux (chevelus ou non) qui souhaitent en savoir plus sur la beauté afro.

Tarifs et réservations en ligne sur http://www.nha2014.com

Crédit Photo : Thandie Kay Photography, Taliah Waajid blog, glamour.com

MAKABU Aïcha

Le festival « A Contre Sens » souffle ses 19 bougies !

Affiche du festival A Contre Sens pour l’édition 2014

Festival – Paris 3 Sorbonne Nouvelle – Du 31 mars au 12 Avril –

                        Le festival A Contre Sens d’un enseignement qui serait fondé essentiellement sur des principes théoriques, offre la possibilité à de jeunes artistes de se produire dans l’espace universitaire et de mettre leurs créations à l’épreuve de la scène et du public. Tout au long des deux petites semaines – du 31 mars au 12 Avril 2014 – se croiseront dans les salles d’un Centre Censier réinvesti : Danse, Musique, Cirque et Théâtre !

« Il y a une belle diversité dans les troupes qui mélangent les arts du spectacle : théâtre, danse, musique, cirque… C’est motivant et inspirant. »

            L’ATEP 3, association créée en 1959, est impliquée dans différents projets ; le festival A Contre Sens

anciennement nommé «Fête Théâtrale», né en 1995, est l’événement central de l’ATEP 3.  Cet événement annuel permet aux jeunes compagnies de théâtre de Paris 3 d’appréhender un peu mieux la création ; « C’est souvent le parcours du combattant pour monter ses créations à Paris, et ça peut être une expérience précieuse », indique Solène Livran, membre de l’ATEP3 depuis septembre 2013. Chaque troupe est en relation avec une personne de l’équipe ce qui permet une belle proximité entre l’association et les différentes troupes. En promouvant la création étudiante, l’ATEP3 met en lumière un vivier de nouveauté et de jeunes talents ; c’est le cas de Margot, étudiante en troisième année (d’une double licence théâtre et lettres) qui participe pour la première fois au festival avec son spectacle Serpente basé sur le mythe de Mélusine, « L’avantage de ce festival, c’est qu’on se sent écouté. Comme il est à taille humaine, les troupes naissantes ont autant droit à la parole qu’aux troupes un peu plus ancrées dans le temps, c’est très motivant car on a une bonne pression. Il y a une belle diversité dans les troupes, qui mélangent les arts : théâtre, danse, musique, cirque… C’est motivant et inspirant ». Chaque parcours est différent, « ce projet –Serpente- est parti d’un exercice d’écriture lors d’un atelier de théâtre dirigé par Elsa Texier Solal », explique t-elle. Les étudiants Erasmus sont aussi plusieurs à présenter leurs projets au festival que ce soit leurs créations ou celles d’une troupe qu’ils ont rejointe.

La Compagnie Goudu au Théâtre-Brasserie – Texte : Koffi Kwahule, Mise en scène : Lucile Perain

A Contre Sens ne cesse d’évoluer et de se réinventer ; ainsi deux nouveautés sont proposées pour cette dix-neuvième édition : Le OFF du festival, qui permet désormais à des compagnies externes de l’Université Sorbonne Nouvelle de se produire dans le festival ; Margot vente d’ailleurs cette nouveauté, « A Contre Sens accueille cette année des troupes d’autres universités que Paris 3, et parfois d’autres villes, et même d’autres pays. Par exemple la troupe San Tuo Qi vient de Chine ! Ca promet d’être très sympa. ». Un projet de parrainage a également été développé avec le Service d’Action Culturelle de Paris 3 qui ont le désir commun d’accompagner les jeunes compagnies étudiantes vers la professionnalisation. Il permet à six troupes déjà présentes les années précédentes au festival, de créer un nouveau spectacle d’une heure environ. Ceci sous l’accompagnement d’un professionnel et qui sera présenté lors du festival A Contre Sens en tant que « Compagnie Parrainée ». Après le festival, les spectacles de ces compagnies seront joués au Théâtre de la Bastille les 23 et 24 mai 2014. Ce parrainage développe donc les échanges entre professionnels du spectacle vivant et étudiants pendant des Master Class enrichissantes.

            Pendant douze jours, le festival permet un moment d’échange et de partage entre les étudiants, qu’ils soient dans une filière « artistique » ou dans des spécialités plus éloignées des arts de la scène, mettant le Centre Censier à la fête ! « On ne se sent pas dans une compétition, même si le festival instaure un système de prix cette année. Je serai déjà heureuse d’avoir un public attentif, et le plaisir de jouer. Les festivals de création étudiante, c’est vraiment un vivier : on se sent protégé, en dehors de toute marchandisation du spectacle, et écouté », conclue Margot Ferrera, auteur-metteur en scène du projet Serpente. Pour l’édition 2014, trente deux compagnies seront présentes au festival (contre les douze de l’édition 2013).

Vous pouvez retrouver la programmation du festival et les informations sur les spectacles sur le site de l’ATEP3 (http://www.atep3.fr/WordPress/a-contre-sens/festival-2014) ainsi qu’au Service d’Action Culturelle de Paris3. Prix : gratuit.

 MC DAMPT

Publication visée : magazines culturels, webmagazine

(Crédit photos : 1) Affiche officielle du festival A Contre Sens, par l’ATEP3 – 2) Photo de la Cie Goudu )

Sochi: How to be gay (and merry) at the O.Gs: An international guide

Protesters in London join those asking for countries to boycott the Sochi 2014 Winter Olympics because of Russia's new anti-gay laws. Photograph: Lefteris Pitarakis/AP

Protesters in London join those asking for countries to boycott the Sochi 2014 Winter Olympics because of Russia’s new anti-gay laws. Photograph: Lefteris Pitarakis/AP

If the Sochi games had to get a gold medal somewhere, it would certainly be controversy. Never had we talked so profusely (and unfortunately, negatively) of a game before it even began. Except perhaps since the ones organized by Hitler. But surely, we can’t compare them to Sochi 2014, can we ?

Well, if many of us feel very strongly about the homophobic controversy at Sochi and are trying to raise some kind of awareness towards gay rights, a new trend has risen in the midst of all this indignation: humour.

Indeed, according to many medias all over the world, we can laugh about everything. Then, why not mock Putin and his anti-gay laws?

The following ad has been released in Canada:

 

This ad was released by the Canadian Institute of Diversity and Inclusion in response to the anti-gay law bill crafted by the Russian Parliament. This video shows two athletes in the midst of their sport while playing a very subjective music that leaves very little doubt as to its real inclination.

Meanwhile in Scotland, a small group of people have created a special brew o protest against the gay laws and more especially, Putin’s policy. Here again, humour is never far to take on the issue:

Protest Beer in Scotland

So, can we laugh of everything? Is humour a good weapon against such a sensitive subject as the anti-gay laws? Not everybody agrees. Indeed, in London, Clara is a gay activist, and has worked with several associations over the past few years to raise awareness directly around her and in her country. “The thing is, this is going to hurt more one day than it is going to help us”. She says when asked about these campaigns. As a PR consultant for McKinsey&Company, she declares she knows when she knows how to spot a fashion trend when she sees one. “Which is exactly what it is. The medias are taking on this issue because everyone else does. They do not see the real problem. This is a case of Human Rights, not just mere bigotry.”

In America, daily chat shows take on the issue with the same humorous ardour. However, Clara is also concerned and a little angry. “I’m sure they don’t mean anything bad when they record their shows but we can’t help to ask ourselves if this is real concern for our cause or just a way to obtain good ratings. Which is actually very clever. We can’t accuse them of hypocrisy because they know their subject and in a way, they do help us raise awareness towards our cause.”

Vidéo : The Daily Show : Gaywatch

And hypocrisy, Clara has seen it several times. “I think you can’t really see it unless you experience it. But some people will say anything to get on the good side of the public opinion.” She’s shown an ad for a sport brand released in Norway and reacts instantly: “That’s what I mean. This is not a video for gay rights advocacy. This is merely and purely an ad for a brand that is just interested to make money by targeting a new market. This is what we learn in school about marketing and public relations. We have to go with the interests of the moment. And gay rights are definitely in the now. But in a few years, maybe just a few months, this won’t be what we’ll see on television because the public will be concerned with something else. Endangered animals or little children in India. Take your pic.”

Norway Ad

“Humour is good but it is not a solution” she finally says. Unfortunately, we can only agree with her. While looking at some figures, we see that the matter is far from being solved. According to a UN news center report in 2011: “In 76 countries it remains illegal to engage in same-sex conduct and in at least five countries – Iran, Mauritania, Saudi Arabia, Sudan and Yemen – the death penalty prevails.” And since then, 5 countries have been added to the list where homosexuality has become illegal.

 

An activist waves a rainbow flag, an international symbol for the rights of gay, lesbian, bisexual and transgender people. Photo: Flickr/See-ming Lee

An activist waves a rainbow flag, an international symbol for the rights of gay, lesbian, bisexual and transgender people. Photo: Flickr/See-ming Lee

Marine Zajicek, L3 Anglais

Publication Visée : Le Nouvel Observateur